Le 27 mars 2019
Mon cher lecteur,
Le temps se fait long pour moi, mon départ tarde... et même si maintenant je connais toutes les raisons de cette durée, je reste une humaine impatient !
Je sais ce qu'il m'attend de l'autre côté du voile, l'Amour de mon bien- aimé, ma Flamme, l'amour inconditionnel des éclats, l'Amour Divin de la Source, et du travail, du travail et beaucoup de travail...Ma MISSION de MORT !
Comme nous avons une mission d'âme à la création de notre âme, une mission d'incarnation au début de chaque nouvelle vie, nous avons également, quand toutes nos 144 incarnations sont terminées, une mission de mort.
Personnellement, le travail qui m'attend est énorme...alors, je me prépare.
Ma dernière recherche concerne une démarche simplifiée pour soigner ses blessures, seul, je te la livre céans.
DE
la BLESSURE au PARDON
Je l'explique souvent, le plus souvent possible
que la présence des blessures d'âme en soi empêche de s'estimer,
de s'aimer, SURTOUT aussi de s'ouvrir à l'autre et de l'aimer.
Notre conditionnement sociétal, religieux,
familial, nous recommande d'aimer et d'aider l'autre, avant
nous-même.
Je m'insurge contre cette idée, absurde car
illogique !
Comment apporter à l'autre un sentiment que
l'on ignore ? Comment partager une chose que l'on ne possède
pas ? Comment lui offrir un apaisement que l'on ne connait pas
en soi ?
Certes, nous pouvons le faire et donner
illusion, mais toujours, ce comportement cache un besoin (amour,
reconnaissance, besoin d'exister...) et donc une blessure.
Les
5 blessures (T.R.A.H.I.)
Au nombre de 5, ces blessures de base, portent
le panel de tous nos dysfonctionnements relationnels, et de notre
mal-être.
Le plus souvent, elles nous ont été infligées
dans l'enfance, voire petite enfance, et parfois en gestation. Il
arrive que ces blessures aient créé une chaîne
transgénérationnelle, ou soient karmiques.
La Trahison, le Rejet, l'Abandon,
l'Humiliation, l'Injustice ( T.R.A.H.I.) cachent toutes
nos autres blessures, souffrances culpabilité ou honte.
Elles s'expriment par les comportements de
chacun, vis à vis de soi-même, ou vis à vis de l'autre, et sont
ainsi un avertissement indicateur d'une blessure cachée.
Par exemple, des larmes devant un film évoquant
un enfant abimé par la vie (abandon ? injustice?), de la colère
devant la scène d'un animal martyrisé ( injustice ?
humiliation?) ou abandonné ( rejet ? Abandon?), de
l'incompréhension devant un mensonge (trahison ? humiliation?),
l'agressivité, la jalousie ou l'envie de la vie d'autrui, et
l'intolérance....etc.
Tous ces comportements non exhaustifs
démontrent une souffrance intérieure, et une blessure, voire
plusieurs, superposées les unes aux autres...
Pourquoi
les chercher ? Pourquoi les soigner ?
La première raison, pour tout un chacun, est
de recouvrer une paix intérieure, une sérénité et surtout une
harmonie entre comportement extérieur à autrui, et bien-être
émotionnel.
Quel bonheur de ne plus se soucier du regard de
l'autre, de se moquer de sa critique,car MOI-JE sait qui il est, et
est en paix avec lui-même, car il a, en soignant ses blessures,
retrouvé son estime et sa confiance de soi !
La seconde raison, est beaucoup plus
spirituelle. Elle concerne notre âme qui se situe dans l'aura...
Notre corps physique est entouré d'un corps
énergétique, l'aura. Je ne définis pas les corps énergétiques,
car trop long et complexe.
Il faut juste savoir que toutes nos
émotions, nos blessures laissent une empreinte sombre dans cette
aura, et génèrent des maladies au corps physique ( § « le
mal a dit »). Aujourd'hui des investigations existent par
imageries qui permettent de voir longtemps avant, une maladie qui se
prépare, grâce à l'aura ( médecine quantique)
Ces empreintes sombres, outre les maladies,
grignotent la lumière et le rayonnement de notre aura, donc de
notre âme, et entravent notre évolution spirituelle.
Elles nous maintiennent en état de colère, de
haine, d'intolérance et d'ego, et assombrissent notre âme.
Quand une personne commence une ascension
spirituelle, il est impératif, indispensable, que le soin et la
guérison des blessures entrent dans le parcours. Si cela n'est pas
fait, le parcours d'ascension s'arrêtera et l'âme n'évoluera
plus.
Comment
procéder au nettoyage ?
Ce n'est pas une partie de plaisir, et parfois,
nous avons envie de baisser les bras, car trop douloureux.
Notre mental a fait taire notre âme depuis
l'enfance, il a conditionné notre vie, et surtout a emprisonné nos
blessures dans des carcans de protections, de conditionnements et de
pensées limitantes...pour nous éviter de souffrir.
- Une forte émotion : l'avertissement indicateur m'alarme.Je viens d'avoir une réaction inappropriée devant une situation que demain, je considérerai comme futile. Mon « enfant intérieur » a manifesté ainsi sa souffrance et l'enfant blessé a réagi de façon exagérée.
- Recherche du « pourquoi » cette réaction?Il s'agit-là de prendre conscience du débordement ( JE va se donner tout un tas d'excellentes raisons à cette réaction, ça, le « mental » ne veut surtout pas que JE creuse trop, pas envie de souffrir!). L'autre, en face de JE, est toujours un miroir qui reflète ce que JE possède en lui et souvent refuse de voir...
- JE énonce une répétitivité de ce type de réactionJE a déjà ressenti cette forte émotion, Il doit se souvenir de quand ? Comment ? Où ? L'évocation des situations, circonstances, événements ou personnes qui ont généré ce type d'excès, peut donner lieu, à ce moment, un déchaînement de colère, haine, pleurs...JE recherche QUI est responsable de cette colère !
- JE recherche alors la toute première blessureCette première situation, qui a blessé le « petit enfant », qui lui a brisé son estime de lui, qui l'a humilié, est la blessure initiale, d'où partent, bien souvent, toutes les autres blessures ( comme un cancer initial et les métastases )
A l'origine de cette circonstance, une
personne responsable. QUI ?
- La personne responsableCette personne est très souvent quelqu'un de proche et d'aimé ou qui aurait dû donner de l'amour ( parents, frères ou sœurs..), Le regard de JE sur cette personne se doit d'être distancié. Ce n'est plus le père, la mère, le frère ou autre, mais UNE personne, un être de chair et de souffrance aussi. JE tente de considérer la personne dans son intégralité, passé, vie, sentiments, frustrations, attitudes, blessures... et ainsi, découvrir ses conditionnements, ses protections, ses peurs, ses dénis, ses limites, et TOUT CE QUE CETTE PERSONNE A DÛ FAIRE POUR EXISTER, VIVRE, ÊTRE....
- L'Autre est moiJE reconnais ses douleurs, ses souffrances, ses frustrations en l'autre. Il peut s'identtifier à lui. Cet autre n'est plus le « responsable », « le tortionnaire », le « mauvais ». Il est un être qui lui ressemble, les mêmes souffrances, les mêmes peurs, les mêmes humiliations.
Cette phase d'identification permet une
explication, voire une compréhension par l'échange de l'évocation
de souvenirs...
- Le PardonCette évocation de souvenirs, quelque fois partagés, de drames souvent similaires, de blessures identiques, apporte un autre regard sur l'autre, et JE comprend que si « l'autre est moi », JE a pu également, ou aurait pu, se comporter ainsi. Est-il vraiment différent ? Ses blessures à lui, JE, qu'ont-elles apporté à l'autre, son proche ? L'Autre a-t-il souffert de cet « enfant intérieur » si tempétueux, monstrueux parfois ?La tolérance est proche, car JE a enfin la con- naissance ( naitre avec ) de la souffrance d'Autrui. Une forme d'empathie apparaît qui ouvre l'esprit et le cœur.Le Pardon, sous sa forme simplifié, est à portée d'âme. Il est couplé à la compréhension, à l'identification à l'autre.
Pas de pardon possible sans l'explication, la
compréhension de l'acte et de ses causes profondes.
Certes, le Pardon apparaît possible. Souvent,
il faut encore du travail pour finaliser ce parcours, et quelques
exercices sur la gestion des émotions (EFT) ou les bonshommes
allumettes pour le détachement, ou encore le Ho' Oponopono, pour le
pardon définitif.
Quel soulagement de n'avoir plus d'émotion
devant des situations évocatrices de blessures !
Quel bonheur d'enfin pouvoir s'aimer sans ses
peurs, et de rayonner son Amour de soi à Autrui, quel qu'il soit !
Je termine par ce magnifique texte de
Ho'oponopono
Désolé,
JE reconnais le conflit.
Pardon,
JE donne la possibilité de me pardonner à moi même, à notre âme,
à l'univers d’avoir créé cette situation.
Merci,
à mon âme, à Dieu, à l’univers d’avoir réveillé cette
mémoire qui était en moi afin de la nettoyer.
Je
t’aime, nettoyage de la mémoire limitante, JE envoie une
énergie d’Amour à moi et à l’univers. On pourrait dire aussi «
je m’aime ».
Voilà, mon cher lecteur. Puisse ce parcours résumé te permettre d'accéder au très difficile soin de tes blessures d'âme, et surtout à sa guérison salvatrice.
La guérison mène au Pardon, le Pardon conduit à l'Amour de SOI, de l'Autre, Amour inconditionnel.
Merci de m'avoir lue,
Je t'adresse ma gratitude lumineuse
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